Le président sortant Mohamed Moncef Marzouki a annoncé qu’il va transmettra le pouvoir à son successeur, le mardi 30 décembre.
Le président sortant a assuré qu’il n’ira pas jusqu’à déposer des recours en invalidation des résultats du scrutin, expliquant sa décision par le fait que l’introduction de recours retarderait de plusieurs semaines l’étape de transition, ce qui représenterait, selon lui, « un fardeau pour la Tunisie qu’elle ne pourrait pas supporter.