Selon le ministère de l’intérieur l’homme décédé habite à six km des lieux où se déroulent les affrontements avec les citoyens et où il y a eu des jets de grenades lacrymogènes. Il serait décédé, selon les premières constatations, d’une crise cardiaque. Ce qui n’a rien à voir avec le gaz lacrymogène, ni les affrontements avec les forces de la police.