« Les femmes victimes de violences qui se retrouvent dans l’impasse, des violeurs qui échappent à toute sanction »: C’est en tout cas le triste constat présenté ce matin par Amnesty internationale lors d’une conférence de presse organisée à Tunis.
Les intervenants pointent du doigt plusieurs facteurs qui sont à l’origine du fléau. Et en l’occurrence d’importantes failles dans le cadre juridique.
Des lacunes à combler si l’on veut réellement lutter contre la violence à l’égard des femmes.
Magdalena Mughrabi, chercheuse à Amnesty international section Afrique de Nord , nous en dit plus. Elle intervient au micro de Issa Khreichi: