La campagne électorale pour le scrutin présidentiel a été émaillée par plusieurs actes de violence.
Le taux de la violence physique en cette période est jugé plus élevé que celui des législatives et la violence dans la capitale est plus grave que dans les autres régions.
C’est ce qui ressort du rapport de la fondation CHOKRI BELAID contre la violence présenté aujourd’hui lors d’une conférence de presse à Tunis.
La coordinatrice du projet FERIEL CHARFEDDINE nous fait une première lecture de ce rapport au micro de SALOUA ARFAOUI.
Ces violences ne restent pas impunies.
La présidente de la fondation BASMA KHALFEOUI a dénoncé les actes qui peuvent influencer sur le choix des électeurs. Elle a assuré que les auteurs de ces agressions seront poursuivis en justice.