Le FTDES a appelé à cesser ce qu’il a qualifié de « voies de coopération injustes » qui ont mis les droits et la dignité des immigrés aux enchères en échange d’un soutien économique et politique.  Il a estimé que les dirigeants européens actuels considèrent la Tunisie uniquement comme un point frontalier avancé qu’il faut renforcer le contrôle pour empêcher les arrivées en Italie, quel que soit le coût humanitaire. Le FTDES souligne que le gouvernement italien  exploite la question migratoire comme carte électorale. Une analyse partagée par Rafik Boujdaria, membre d’une dynamique méditerranéenne baptisée « La convention des Droits en méditerranée »