La grande majorité des familles tunisiennes refusent catégoriquement de donner les organes de leurs proches en état de mort clinique, c’est ce que nous affirme Rafika Bardi, la directrice générale du centre national pour la promotion de la transplantation d’organes à l’occasion de la journée mondiale du don d’organe. 1500 malades sont en attente d’une greffe ou d’une transplantation qui sauverait leur vie. Le nombre de donneurs reste néanmoins très limité. Une loi existe déjà sur le don d’organes mais cette loi exige le consentement de la famille. Pour cette raison, la directrice du centre national pour la promotion de la transplantation d’organes appelle les citoyens à exprimer leur volonté de faire don leurs organes de leur vivant.
Elle s’exprime au micro de Sarra Rajhi.