L’économie informelle, un vrai danger. Les observateurs ne cessent de tirer la sonnette d’alarme pour lutter contre la propagation de ce fléau qui représente plus que la moitié de l’économie nationale.
Aujourd’hui un débat s’est engagé pour élaborer une nouvelle approche participative et trouver les moyens propices afin d’assurer la transition de l’économie souterraine vers l’économie structurelle.
Lotfi Benour , directeur de l’Institut National du Travail et des études sociales juge que la solution réside dans l’économie sociale et solidaire.
Hafedh Laamouri, universitaire et coordinateur de l’association tunisienne de droit social et des relations professionnelles sollicite les autorités à mettre en place des mécanismes souples et faciles pour encourager les gens à s’intégrer dans l’économie formelle.
Propos recueillis par Zeïneb Farès lors d’un colloque national tenu aujourd’hui à Tunis sur « Les mécanismes de transition de l’économie informelle à l’économie formelle ».