La société civile a accueilli l’annonce de l’assassinat des deux journalistes tunisiens avec circonspection.
Mustapha Abdelkebir, membre d’un collectif d’associations chargé de la médiation dans l’affaire de Sofiene Chourabi et Nadhir Lektari estime que l’information sur l’exécution des deux journalistes n’est pas crédible.