En annonçant, leur retrait de l’élection présidentielle, les candidats indépendants, Noureddine Hached et Mustapha Kamel Nabli ont porté à 4 le nombre des prétendants au au palais de Carthage ayant abandonné la course.
Même si ces retraits ne sont pas pris en compte par la loi électorale, ils peuvent toutefois servir d’autres candidats.
Qui profitera de cette vague de retrait ? Et quel impact peut-elle avoir sur l’élection présidentielle ?
Réponse de Hamadi Rdissi, Professeur à la Faculté de droit et des sciences politiques de Tunis, au micro de Insaf Zairi.
Selon Hamadi Rdissi, pour ceux qui se sont désistés de la course vers le palais de Carthage, deux alertes importantes sont à signaler, la violence et l’argent politique.