Les infractions enregistrées pendant la période du silence électoral et le jour du scrutin de lélection présidentielle étaient mineures et ne peuvent êtres considérés comme des crimes électoraux, a affirmé Soufien Laabidi, membre de lISIE.
Parmi ces infractions, la distribution de tracts électoraux et affiches de propagande électorale par les partisans de certains candidats, a-t-il ajouté.
Linstance a averti ceux ayant commis ces infractions et rédigé des procès-verbaux à leur encontre dont certains ont été transmis au ministère public, a-t-il souligné.
Tous les dépassements, violations de la loi électorale et infractions relevés seront pris en compte lors de lannonce des résultats préliminaires des élections, a indiqué la même source.