Le mouvement judiciaire est de nouveau contesté par le syndicat des magistrats tunisiens.
Ce dernier pointe du doigt l’instance provisoire pour l’indépendance de la magistrature. Il considère que le dernier mouvement judicaire ne respecte pas les standards internationaux voire la constitution tunisienne.
Raoudha Laabidi, présidente du syndicat estime que l’instance a violé le principe de la transparence et a privilégié l’appartenance.
Elle intervient au micro de Zeïneb Farès