Le rapport du Haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l’Homme (HCDH) 2014 a brossé un bilan plutôt positif de la Tunisie en matière de protection des droits humains.
Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères, rendu public, jeudi, le rapport a passé en revue l’ensemble des réformes structurelles, juridiques et institutionnelles
engagées par la Tunisie.
Il s’agit, notamment, de la constitutionnalisation de nombre d’instances indépendantes, de la levée des réserves émises sur la Convention sur l’élimination de toutes formes
de discrimination à l’égard des femmes et de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).
D’après le même communiqué, il est question, aussi, de l’élaboration d’un projet de loi relatif à la lutte contre la violence faite aux femmes et de l’entrée en service
de l’Instance « Vérité et dignité ».
Le rapport a, également, salué la mise en place d’un groupe de travail chargé de la réforme du système carcéral et la généralisation de l’enseignement de la matière « droits de l’Homme ».
Il convient de noter qu’une femme tunisienne qui accomplissait son devoir électoral a fait la couverture du rapport, un geste qui, selon le ministère des Affaires
étrangères, représente une reconnaissance internationale de la réussite du processus de transition démocratique en
Tunisie.
Lors de sa récente visite en Tunisie (20 avril 2015), le Haut commissaire des Nations Unies pour les droits de l’Homme avait qualifié l’expérience transitoire tunisienne de « modèle à suivre ».
Le rapport 2014 des Nations Unies sur les droits de l’Homme brosse un bilan positif de la Tunisie
Le rapport du Haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l’Homme (HCDH) 2014 a brossé un bilan plutôt positif de la Tunisie en matière de protection des droits humains.
Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères, rendu public, jeudi, le rapport a passé en revue l’ensemble des réformes structurelles, juridiques et institutionnelles
engagées par la Tunisie.
Il s’agit, notamment, de la constitutionnalisation de nombre d’instances indépendantes, de la levée des réserves émises sur la Convention sur l’élimination de toutes formes
de discrimination à l’égard des femmes et de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).
D’après le même communiqué, il est question, aussi, de l’élaboration d’un projet de loi relatif à la lutte contre la violence faite aux femmes et de l’entrée en service
de l’Instance « Vérité et dignité ».
Le rapport a, également, salué la mise en place d’un groupe de travail chargé de la réforme du système carcéral et la généralisation de l’enseignement de la matière « droits de l’Homme ».
Il convient de noter qu’une femme tunisienne qui accomplissait son devoir électoral a fait la couverture du rapport, un geste qui, selon le ministère des Affaires
étrangères, représente une reconnaissance internationale de la réussite du processus de transition démocratique en
Tunisie.
Lors de sa récente visite en Tunisie (20 avril 2015), le Haut commissaire des Nations Unies pour les droits de l’Homme avait qualifié l’expérience transitoire tunisienne de « modèle à suivre ».