S’étonnant de cette décision, Chebbi a déclaré qu’il n’y a aucune preuve permettant de confirmer que la plainte a été déposée par des parents qui ont des enfants inscrits à l’école ou dans des établissements d’enseignement secondaire.
Il a ajouté que les plaignants demandent aux fédérations de l’enseignement de base et secondaire de remettre les notes à l’administration alors que cette question ne concerne pas les parents, d’autant plus que tous les élèves ont obtenu leurs notes et ont pu vérifier leurs copies d’examen avant de les rendre aux enseignants.

De son côté, le président de l’Association tunisienne des parents et des élèves (ATUPE), Ridha Zahrouni, a appelé à rendre justice aux « élèves victimes » qui ne doivent, en aucun cas, a-t-il-dit, être impliqués dans des problèmes liés aux syndicats et au ministère de l’éducation nationale, soulignant que l’association soutient tous les mouvements de protestation des parents visant à préserver les droits de leurs enfants à l’éducation dans le respect des lois en vigueur.