Dans un climat d’instabilité politique, 3 ans durant, la Tunisie est entrée dans une situation à haut risque selon la classification de la plus grande agence de notation internationale «standards & poor’s ».
A la fin des élections présidentielles et après l’installation de la nouvelle assemblée du peuple et la prise du pouvoir du nouveau président et la formation du nouveau gouvernement, la Tunisie sera confronté à plusieurs enjeux des défis économiques majeurs et fera face à des demandes urgentes.
Analyse de l’économiste Moez Joudi au micro de Sondès Ben khalifa.
