La STEG a atteint un stade critique. C’est que ses dettes auprès de ses clients ont atteint un niveau insoutenable. La facture s’élève à 1400 millions de dinars Tunisien.
La compagnie a fixé la date butoir du 1er avril pour que les retardataires règlent leurs factures avant de procéder à des coupures de courant sans préavis. Mais ce ne sera pas suffisant. La compagnie compte toujours sur le budget de l’Etat pour renflouer ses caisses.
Mounir Ghabri, directeur des relations avec les citoyens à la STEG: