Suite à la fermeture de certains cafés par des agents des forces de l’ordre en ce début du mois saint et pour cause leur ouverture avant la rupture du jeûne, les experts tirent la sonnette d’alarme et pointent du doigt une pratique anticonstitutionnelle.
Cette pratique tire ses sources de la circulaire Mzali de juillet 1981.
En plus de son inconstitutionnalité, les juristes affirment que l’exercice de la loi ne doit pas se faire par voie de circulaire.
Salsabil Kelibi, enseignante à l’université des sciences juridiques de Tunis apporte des clarifications à ce sujet au micro de Issa Khreichi