La grève générale des transports a paralysé les tunisiens.
Entre d’un côté, une partie syndicale qui accuse le gouvernement de ne pas avoir respectée l’accord conclu, et un gouvernement qui pointe du doit des revendications déconnectées de la réalité économique, on se retrouve dans un cercle vicieux.
En attendant, la grève se transforme en grève ouverte et aucun dénouement n’est à l’ordre du jour
Écoutons Sami Tahri secrétaire général adjoint à l’UGTT: