Un pas en avant vers la justice transitionnelle. L’instance Vérité et dignité a dévoilé ce matin lors d’une conférence de presse, les résultats de ses travaux autour de l’identification des violations des droits de l’homme de la période allant de 1955 à 2013. L’objectif est de placer les plaintes reçues dans leur contexte historique pour faire la lumière sur toute la vérité.
Sihem Ben Sedrine, présidente de l’IVD, fait le point sur l’état d’avancement de l’enquête. Elle intervient au micro de Issa Khreichi
La première audience publique de l’IVD est prévue pour le 18 novembre prochain au palais des congrès à Tunis. 5 à 7 cas de violations graves des droits de l’homme durant les périodes de l’histoire de la Tunisie et à travers différentes régions les y seront présentés.