La femme Tunisienne reste réticente et ne dénonce toujours pas les pratiques de corruption. C’est une constatation de l’instance nationale de lutte contre la corruption.
De ce fait, l’instance organise un atelier de réflexion consacré à l’approche du genre en relation avec de la corruption sur les femmes afin de les inciter à être partie prenante dans la lutte contre ce phénomène.
Chaouki Tebib, président de l’instance Nationale de lutte contre la corruption au micro de Sondès Ben Khalifa.