Des caméras de surveillance ont été installées dans plusieurs artères de la ville de Mégrine pour scanner les gens qui jettent les ordures et poubelles dans des places publiques et pouvoir par la suite les identifier et les punir.
Une excellente initiative de la société civile pour lutter contre la pollution de l’environnement de plus en plus accrue partout en Tunisie.
Pour le président de l’Instance nationale de protection des données personnelles, Chawki Gaddes, cette initiative, lancée par quelques habitants de la région, n’est pas conforme à la loi. Ecoutons-le au miro de Ines Jelassi.
L’Instance nationale de protection des données personnelles est entrain de préparer un projet de loi relatif à l’utilisation des moyens de surveillance. Chawki Gueddas