La Tunisie, crise du système politique ou crise de leadership.
Le régime politique hybride ne sert pas la stabilité du pays ; c’est le constat de plusieurs observateurs de la scène politique lors d’un colloque tenu aujourd’hui à Tunis.
L’universitaire Mohamed Saleh Ayari estime que ce régime entrave la bonne gestion des affaires de l’Etat vu qu’il est commandé d’apparence par trois présidences alors qu’un seul parti majoritaire à l’ARP qui gouverne et qui décide.
Il intervient au micro de Zeïneb Farès