La vie ne les a pas gâtées. Dès les premières heures de l’aube, elles sont debout pour se rendre sur leur « lieu du travail ». Dans la boue, sans protection ni du froid, l’hiver, ni de la canicule, l’été, pour passer de 10 à 12 heures du travail pénible contre quelques dinars.
Certaines de ces femmes rurales sont parfois chanceuses d’arriver indemnes au « boulot ».
Mais il arrive qu’elles perdent la vie chemin faisant, au gré des embardées des camionnettes dans lesquelles elles s’entassent dans des conditions périlleuses, sans protection aucune. (TAP)