Le gouvernement Essid a obtenu la confiance de l’Assemblée des représentants du peuple grâce à un large consensus, soit 166 voix pour, 30 contre et 8 abstentions.
Selon le directeur de la rédaction du journal » Le Maghreb », le journaliste Zied Krichen, ceci ne préjuge pas pour autant d’un gouvernement fort. Voici ses arguments.
Il est vrai que les chantiers sont énormes. Encore faut-il avoir le souffle réformateur pour corriger les torts et redresser la situation pays. Pour Zied Krichen, les Tunisiens doivent s’armer de patience.