La trêve à Gaza, censée durer jusqu’au 1er mars, est mise en péril par des accusations de l’entité sioniste

Alors que la trêve dans la bande de Gaza semble de plus en plus incertaine, l’entité sioniste a réaffirmé sa volonté de reprendre les combats "à tout moment", accusant le mouvement de résistance Hamas de mettre en péril l'accord en cours.
La trêve, en place depuis le 19 janvier, devait initialement se poursuivre jusqu’au 1er mars, mais les négociations sur la suite du processus sont à l’arrêt.
Un nouveau point de tension est apparu samedi, lorsque les sionistes ont suspendu la libération de 620 prisonniers palestiniens, en réaction à la cérémonie de remise de six captifs israéliens organisée par le Hamas de devant une foule à Gaza.
Les israéliens exige la fin de ces « cérémonies humiliantes », tandis que le Hamas accuse l’entité sioniste de torpiller l’accord et exhorte les pays médiateurs, notamment les États-Unis, à intervenir.