Escalade Israël-Iran : Frappes aériennes, drones et menaces nucléaires plongent la région dans la crise
L'armée israélienne a intercepté une centaine de drones iraniens en représailles à des frappes nocturnes, tandis que Téhéran promet une "réponse forte" après la mort de hauts responsables militaires et scientifiques
La tension entre Israël et l’Iran a atteint un niveau critique cette nuit après une série d’attaques aériennes israéliennes sur le territoire iranien, suivie d’une riposte immédiate de Téhéran sous forme d’une vague de drones. Les échanges de frappes et les déclarations belliqueuses des deux camps font craindre une escalade régionale majeure, avec en toile de fond la question sensible du nucléaire iranien.
Israël frappe l’Iran, qui riposte avec des drones
Dans la nuit de [date], l’armée israélienne a lancé une série de frappes aériennes contre des installations militaires et nucléaires iraniennes, selon un communiqué officiel. Les avions de chasse israéliens auraient également endommagé des systèmes de défense aérienne iraniens, limitant la capacité de Téhéran à contrer les attaques.
En réponse, l’Iran a envoyé une centaine de drones en direction d’Israël, obligeant l’armée israélienne à activer ses systèmes d’interception. "Nous surveillons la situation et nous préparons à toutes les éventualités", a déclaré un porte-parole militaire israélien.
Pertes iraniennes : hauts gradés et scientifiques nucléaires tués
Les médias iraniens ont confirmé la mort de Hossein Salami, chef des Gardiens de la Révolution, ainsi que celle d’un autre haut commandant. Plus grave encore, au moins six scientifiques nucléaires de premier plan auraient été éliminés dans l’attaque, ce qui pourrait retarder les programmes sensibles de Téhéran.
L’Iran promet une "réponse forte" et invoque l’ONU
Le gouvernement iranien a immédiatement réagi, affirmant avoir le "droit légitime" de se défendre en vertu de l’Article 51 de la Charte des Nations unies. Les Gardiens de la Révolution ont juré une "vengeance sévère et regrettable", laissant planer la menace d’une nouvelle escalade.
La question nucléaire au cœur des tensions
Israël justifie ses frappes en affirmant que l’Iran se rapprocherait du "point de non-retour" dans son programme d’armement atomique. En réponse, Téhéran a réaffirmé sa détermination à poursuivre l’enrichissement d’uranium et le développement de missiles balistiques, considérant ces projets comme vitaux pour sa sécurité.
Les États-Unis dans l’ombre
L’ancien président américain Donald Trump a révélé que son administration avait informé un allié clé au Moyen-Orient de l’imminence des frappes israéliennes, tout en niant toute implication directe des États-Unis. Cette révélation pourrait compliquer les efforts diplomatiques pour désamorcer la crise.
Une situation explosive
Alors que les frappes se multiplient et que les menaces se précisent, la communauté internationale redoute une conflagration régionale. Avec la mort de hauts responsables iraniens et la question nucléaire en suspens, le risque d’une guerre ouverte entre Israël et l’Iran n’a jamais été aussi élevé. Les prochaines heures seront décisives pour éviter un embrasement généralisé.
